Les journalistes du Prix Albert Londres joignent leur voix à celles, nombreuses, manifestant leur solidarité avec leurs confrères Didier François et Edouard Elias et espérant leur retour rapide.

La Syrie est probablement un des fronts de l’information les plus difficiles de l’histoire contemporaine. Des professionnels de la presse, neutres faut-il le rappeler, sont malheureusement à compter au nombre des victimes de ce conflit.
La liberté de penser, si chère aux démocraties, serait un vœu pieux sans la liberté de la presse qu’il convient de défendre sans relâche chaque fois qu’un de ses porte-drapeaux est menacé.

En plus de Didier François et Edouard Elias, le Prix Albert Londres pense également aux autres journalistes étrangers détenus ou disparus en Syrie : Armin Wertz (Allemagne), Domenico Quirico (Italie), James Foley (Etats-Unis), Austin Tice (Etats-Unis) et Bashar Fahmi Al-Kadumi (Palestine)…

Information presse > Stéphane Joseph : 01 56 69 58 88 / 06 82 90 01 93

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