Ce grand reporter du service étranger du Figaro, était d’abord homme de terrain. Correspondant à Berlin, à Alger, au Caire dans les années 60, il entre ensuite à l’Express en 1975. Cette fois, c’est en tant que directeur de rédaction qu’il exerce son métier de journaliste pour les sections majeures de l’hebdomadaire.
Yves Cuau a reçu le Prix Albert Londres en 1968 pour un livre préfacé par Raymond Aron et intitulé : « Ce jour-là, 5 juin 1967, Israël attaque ». Un des nombreux épisodes de l’histoire toujours en plein conflit de cette partie du monde. Yves Cuau avait 90 ans.
L’association du prix Albert Londres présente toutes ses condoléances à la famille de notre confrère Yves Cuau.
